Un contexte très favorable pour les futurs diplômés de l’ESITC Caen !

L’École Supérieure d’Ingénieurs des Travaux de la Construction de Caen accueille déjà chaque année près de 500 élèves ingénieurs, recrutés pour moitié après inscription sur le portail APB. Qu’ils soient bacheliers, issus des classes préparatoires aux grandes écoles ou diplômés des filières techniques, les futurs ingénieurs reçoivent une formation plébiscitée par les entreprises du secteur (selon la dernière enquête insertion, 96 % des diplômés 2016 sont en activité au moment de la remise de leur diplôme, deux tiers d’entre eux ayant trouvé leur emploi avant l’issue de leur stage de fin d’études). L’ESITC Caen s’attache par ailleurs à ouvrir le métier d’ingénieur au plus grand nombre au travers d’une ambitieuse politique sociale qui voit un élève sur trois bénéficier d’une aide financière.

Un recrutement post-bac qui s’appuie sur les résultats scolaires et la motivation des candidats

Alors que près de 800 000 élèves de terminale s’apprêtent à exprimer leur choix d’orientation sur la plateforme APB, le recrutement de l’ESITC Caen s’effectue pour moitié à niveau post-bac. Les candidats recrutés après inscription sur le portail APB intègrent un cycle d’études de 5 ans et accèdent au même diplôme que le reste de l’effectif de l’ESITC Caen, issu des classes préparatoires aux grandes écoles ou de diplômés des filières techniques (IUT Génie Civil ou BTS Bâtiment ou Travaux Publics).

Si le processus de sélection se fonde sur les résultats scolaires des candidats et sur leurs performances aux d’épreuves écrites d’admission, l’entretien avec le lycéen conditionne 50% de la note finale. « Nous mesurons ainsi la motivation des candidats, leur intérêt pour le secteur du BTP, leur curiosité et leur ouverture d’esprit. Ce processus centré sur l’individu et ses aspirations favorise la diversité des parcours. Il répond à la volonté de l’ESITC Caen de faire des valeurs humaines une composante indissociable des compétences techniques que doit avoir un ingénieur : « Savoir-faire autant que Savoir-être », souligne Jérôme Lebrun, Directeur de l’ESITC Caen.

Aussitôt diplômé, aussitôt embauché

Les entreprises du secteur du bâtiment et des travaux publics doivent s’adapter à des chantiers de plus en plus complexes. Entre 2005 et 2014, la part des ingénieurs dans les effectifs totaux du BTP a ainsi bondi de 1,4 % à 2,8 % selon une étude publiée en 2016 par l’agence Katalyse pour l’Observatoire des Métiers du BTP, une tendance de fond qui va se confirmer. Les besoins sont ainsi évalués à 4 700 recrutements de conducteurs de travaux par an d’ici 2020, poste de plus en plus réservé aux ingénieurs.

Ecole privée associative, reconnue par l’État en 2001, contractualisée depuis 2009, et labellisée d’intérêt général (EESPIG) depuis 2016, l’ESITC Caen forme des ingénieurs prisés des recruteurs du secteur du BTP. Selon les résultats de l‘Enquête 1er emploi menée en janvier 2017, 96 % des 73 diplômés de la promotion 2016 avaient trouvé un poste au moment de la remise de leur diplôme. Les liens étroits noués avec les acteurs du BTP (entreprises, syndicats professionnels) facilitent grandement l’accès à l’emploi puisque 6 élèves sur 10 ont été embauchés dans la continuité de leur stage de fin d’études !

En intégrant l’ESITC Caen, les étudiants ont l’assurance d’accéder à une formation concrète qui répond aux enjeux technologiques des acteurs de la construction. Une garantie d’emploi en quelque sorte !

Un tremplin vers des métiers d’avenir et des postes de responsabilité

Nos jeunes diplômés évoluent rapidement vers des postes à responsabilité (salaire annuel médian : 35,7 K€). Quelques années après leur sortie de l’école, certains ont la chance de participer de façon active à des opérations de construction aussi variées qu’un nouveau centre de vacances en Asie pour le Club Med, une usine pharmaceutique en France, des logements sociaux ou la restauration de bâtiments classés. Sensibilisés aux vertus de l’entrepreneuriat tout au long de leur scolarité, de plus en plus d’anciens élèves accèdent à des postes de direction.

« L’évolution du secteur du BTP concourt également à rendre nos métiers passionnants. Pour atteindre les objectifs fixés par le Grenelle de l’environnement et la COP 21, les entreprises de la construction recherchent des profils d’ingénieurs capables de piloter des projets toujours plus complexes. L’ESITC Caen propose une formation pointue en « construction durable ». L’école a investi à cet effet massivement dans le domaine de la recherche dans les domaines des éco matériaux, de l’efficacité énergétique des bâtiments, du recyclage des déchets et des sols. Des projets développés en partenariat avec des laboratoires universitaires et des entreprises. Rattaché au Pôles de compétitivité Pôle Mer Bretagne, NOVABuild, le laboratoire commun des ESITC emploie près de 20 personnes », ajoute Jérôme Lebrun.

L’ESITC Caen démocratise l’accès au métier d’ingénieur

Depuis la création de l’école en 1993, l’ESITC Caen s’attache à promouvoir la mixité sociale. Cette volonté passe notamment par un processus d’admission qui privilégie le recrutement de candidats aux profils variés (post-bac, écoles préparatoires, filières techniques).

Tout est mis en oeuvre par ailleurs pour que les frais de scolarité (4300 € en 1re année, 4700 € en 2e année, puis 6200 € par an les trois années suivantes) ne constituent pas un obstacle insurmontable pour les candidats. Une politique volontariste qui porte ses fruits puisque 1 élève sur 3 perçoit une aide financière, qu’il s’agisse de bourses d’études venant de l’État, de l’école elle-même ou des organismes professionnels. L’école a été également pionnière en matière d’apprentissage, formule qui dispense les élèves de payer des frais de scolarité.

Enfin, l’ESITC Caen poursuit l’ambition d’atteindre à terme la parité homme femme sur un secteur resté longtemps exclusivement masculin. Grâce à des efforts soutenus en matière d’informations, les dernières promotions comptaient en moyenne un quart d’ingénieures. Et même 30 % en 2015.