Travailler au LFB c'est contribuer à sauver des vies au quotidien
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« Travailler au LFB, c’est contribuer à sauver des vies au quotidien » – L’interview de Bruno de Miribel

Investi d’une mission de santé publique et pilier de la souveraineté sanitaire française, le LFB se transforme à vitesse grand V. Une mue à 360 degrés, qui au-delà de grands projets transverses, passe par le recrutement de nombreux nouveaux talents, confirme son Directeur Financier, Bruno de Miribel (CentraleSupélec 95).

Détenu à 100 % par l’Etat français, le LFB et ses 3 000 collaborateurs en 2024, développent, fabriquent et commercialisent des médicaments dérivés du plasma pour traiter des patients atteints de pathologies graves et souvent rares. Spécialisé en immunologie, en hémostase et en soins intensifs, le laboratoire doit surfer sur cette singularité pour passer un cap à tous les niveaux, explique Bruno de Miribel. «Notre actionnaire nous a soutenus dans le projet de construction d’une nouvelle usine à Arras (ndlr : le LFB en possède trois autres situées aux Ulis, à Lille/Carvin et à Alès) afin de tripler nos capacités de production pour répondre aux besoins des patients en France. Dans cette optique, l’Etat a également sollicité l’Etablissement Français du Sang (EFS) qui collecte le plasma sur le plan national. Le but ? Augmenter les rendements afin d’alimenter cette nouvelle usine, mise en exploitation fin 2024. »

Le LFB vise une pérennisation à l’international

Pour autant, cette grande transformation ne se cantonne pas qu’à l’Hexagone. Car pour tripler dans le même temps un chiffre d’affaires estimé à 600 millions d’euros, le LFB doit absolument gagner en visibilité et en maturité sur les marchés internationaux. « Nous avons des implantations commerciales dans huit pays (USA, Mexique, Royaume-Uni, Allemagne, Benelux, Espagne, Italie et Turquie) où nous développons de solides relations avec des hôpitaux, des professionnels de santé et des chercheurs. » ajoute ce diplômé de CentraleSupélec.

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Le LFB ? Une évidence.

« J’ai rejoint le LFB il y a trois ans et demi. J’y ai découvert immédiatement un niveau d’engagement et d’éthique bluffant. Nos collaborateurs travaillent au quotidien pour contribuer à sauver des vies, et ce n’est pas de la langue de bois ! De plus, les nombreux défis qui nous attendent sur les plans structurel et économique pour continuer à organiser et fiabiliser nos activités, rendent cette aventure encore plus enthousiasmante. »

Un besoin accru de compétences en biotechnologies, sur le green impact et le digital

Par ailleurs, il est important de souligner que parmi les grandes tendances du secteur pharmaceutique, le Leem (organisation professionnelle des entreprises du médicament opérant en France) distingue trois grandes évolutions structurelles liées à la transition écologique, la transition digitale et au besoin accru de compétences en biotechnologies. Des besoins qui collent parfaitement aux ambitions du groupe qui mise notamment sur sa mue digitale (évolution drastique du SI : passage en SAP, valorisation de l’IA, exploitation massive de la data…) et sur la feuille de route de sa nouvelle Direction du développement durable, en place depuis novembre 2024. Quant au besoin de compétences en biotechnologies, le LFB l’intègre bien sûr dans ses plans de recrutement et développe des partenariats avec des écoles qui forment à ces métiers dans les bassins d’emploi où l’entreprise est présente. « En 2025, nous allons recruter 145 alternants et 65 stagiaires en France dans nos métiers cœur.  De plus, le LFB a obtenu pour la 3ème année consécutive le label HappyIndex®Trainees. C’est un fait, les étudiants ont tous les atouts pour s’épanouir chez nous et faire bouger les lignes. »

D’accord ou pas d’accord ?

65 % des Français considèrent que les jeunes salariés sont trop exigeants. « Je suis en désaccord avec cette tendance. Le LFB a besoin de cette exigence pour continuer de grandir sur tous les fronts. Cette nouvelle génération redistribue clairement les cartes. »

86 % des salariés estiment que l’argent est le critère Numéro 1 pour recruter ou fidéliser. « Je ne partage pas cette opinion. En accumulant de l’expérience, on se rend rapidement compte que la rémunération n’est pas l’unique levier. La quête de sens au travail l’est tout autant, voire plus. »

Contact : www.groupe-lfb.com/rejoindre-le-lfb