Communiqué de presse:
En 2016, le secteur du Conseil va recruter 4.000 jeunes diplômés. Avez-vous le profil ? Entre savoir-être et savoir-faire…
Je suis :
1 Diplômé(e) Bac+5 d’une grande école de commerce ou d’ingénieur ou encore Master II d’une très bonne université. L’excellence reste le sésame. Mais les cabinets de conseil en management ne sont plus aussi élitistes et ont élargi leurs recherches. Ils recrutent aussi des profils atypiques comme des scientifiques pour faire face aux problématiques du Big Data. Un stage dans le conseil est également un atout non négligeable pour intégrer un cabinet, plus qu’une spécialisation « consulting ».
2 Autonome. Dès le premier moment de sa carrière, un consultant doit assumer pleinement son rôle de conseil en toute autonomie. Même un consultant junior, encadré au sein d’une équipe, doit faire preuve d’autonomie dans son travail pour être un moteur pour son groupe.
3 Capable d’écoute et d’empathie. L’essentiel de l’apport d’un consultant consiste à travailler en équipe et à « coproduire » avec ses clients. Dans ce cadre, l’écoute, la capacité à faire s’exprimer toutes les attentes et à mobiliser l’énergie du changement sont fondamentales.
4 Rigoureux et organisé. Il n’y a pas de routine ni de procédure qui canalise le travail d’un consultant. Seules des qualités de rigueur et d’organisation personnelle permettent de ne pas se perdre dans l’alternance des sujets et des projets qui peut présenter des risques de dispersion.
5 Bon communicant. La part technique du travail est nécessaire mais pas suffisante ; être un bon communicant est essentiel. Un consultant doit en permanence communiquer pour convaincre, anticiper les doutes et inquiétudes des clients pour rassurer et savoir partager les solutions.
6 Leader. Le consultant doit posséder une capacité de leadership pour faire avancer les projets et entraîner l’adhésion.
7 Modeste. Pas de jeu de pouvoir. Le consultant n’impose pas des solutions mal comprises mais au contraire doit être patient et attentif pour amener le client à comprendre et accepter et même, savoir parfois s’effacer pour faire accepter les évolutions comme venant de l’intérieur.
8 Bosseur. L’équilibre vie professionnelle – vie privée a fait d’immenses progrès dans le métier du conseil. Mais le consultant doit, par la qualité de son travail, assurer le respect des échéances et la qualité des livrables.
9 Compétent. Le métier de consultant, par la variété des sujets traités, amène le consultant à être à la pointe des évolutions, notamment technologiques, et à faire évoluer sans cesse son niveau de compétences techniques et managériales.
10 Innovant et créatif. Un consultant n’intervient pas uniquement comme « apporteur » de méthode et d’expérience. Son métier l’amène à varier les sujets et les points de vue. C’est ce qu’attendent aussi de lui ses clients, une capacité à envisager les problèmes autrement et à faire des connections que les autres ne font pas.
Le plus qui peut faire la différence : garder de la distance. Après tout, même pour réaliser les choses les plus sérieuses, un peu d’humour ne nuit jamais !