Michele Antonelli, vice-président exécutif UCB et directeur de la filiale française évoque les atouts de l’entreprise dans ce secteur de pointe.
Michele Antonelli, vice-président exécutif UCB et directeur de la filiale française évoque les atouts de l’entreprise dans ce secteur de pointe.

UCB Pharma, une entreprise biopharmaceutique au service des patients

Spécial président(e)s

 

Doté d’un chiffre d’affaires de 3,2 milliards d’euros réalisés en 2011, UCB Pharma est une entreprise biopharmaceutique qui se consacre à la recherche, au développement et à la commercialisation de médicaments innovants centrés sur les pathologies du système nerveux central et les maladies immunologiques.UCB Pharma emploie environ 8500 personnes à travers plus de 40 pays. UCB est cotée sur le marché Euronext de Bruxelles (symbole UCB). En France, UCB Pharma emploie 150 personnes et a réalisé en 2011, 200 millions d’euros de chiffre d’affaires.

 

Michele Antonelli,  vice-président exécutif UCB et directeur de la filiale française évoque les atouts de l’entreprise dans ce secteur de pointe.
Michele Antonelli, vice-président exécutif UCB et directeur de la filiale française évoque les atouts de l’entreprise dans ce secteur de pointe.

Quelles sont les ambitions d’UCB et les stratégies mise en place ?
Anticiper et innover. Telles sont les missions que s’est fixé UCB Pharma afin de devenir un leader biopharmaceutique dans les domaines de l’immunologie et du système nerveux central. Fondée en 1928, cette société pharmaceutique conjugue une solide expérience de pure pharma et la créativité d’une biopharma, dont la stratégie est axée sur la recherche, le développement et la production de médicaments innovants. La complexité des maladies graves va au-delà de l’expertise et des ressources d’une seule entreprise, c’est pourquoi nous avons noué de multiples partenariats et d’étroites collaborations en R&D avec des entreprises de biotechnologie de pointe et des universités prestigieuses en matière de recherche telle que Harvard. En parallèle des investissements considérables sont faits dans le cadre de notre transformation en leader biopharmaceutique européen : une nouvelle usine « biotech » vient d’être inaugurée à Braine-l’Alleud en Belgique et une autre également dédiée aux biotechnologies est en cours de construction à Bulle en Suisse.

 

Où en est l’état d’avancement de votre recherche ?
Nous disposons aujourd’hui d’un portefeuille solide de produits en phase avancée de développement qui répondra aux besoins non encore satisfaits des patients. Tout d’abord, nous avons mis au point le seul anti-TNF pégylé, Cimzia® (certolizumab pegol), qui a obtenu son AMM européenne en 2009, dans le traitement des patients atteints de Polyarthrite Rhumatoïde active modérée à sévère de l’adulte, en association au MTX et en monothérapie. Les performances de cette molécule dans le traitement d’autres pathologies auto-immunes comme la spondylarthrite ankylosante et le rhumatisme psoriasique sont également très prometteuses. Vimpat® (lacosamide), un nouvel antiépileptique, indiqué en association dans le traitement des crises partielles de l’adulte de plus de 16 ans, a été  mis sur le marché en France en 2009. Neupro® (rotigotine), pour sa part, a été lancé en 2010. Il s’agit d’un nouvel agoniste dopaminergique non ergoté administré par dispositif transdermique, indiqué à tous les stades de la maladie de Parkinson idiopathique. De plus, nous disposons aujourd’hui de molécules très prometteuses dans notre pipeline de développement. Citons le CDP 7657 (anti-CD40L) (Phase I) et l’epratuzumab (anti-CD 22) (Phase III) qui pourraient révolutionner le traitement du lupus érythémateux disséminé, ou encore le SYN 115 (Phase II), co-développé avec Biotie dans la maladie de Parkinson. Les autres projets de développement clinique relatifs à l’épilepsie progressent également avec le Brivaracetam en traitement adjuvant et l’UCB0942, inhibiteur pré et post synaptique (PPSI). D’autre part, nous nous réjouissons de l’avancée du projet CDP7851/AMG785 (anticorps de la sclérostine), mené en collaboration avec Amgen pour le traitement de l’ostéoporose post-ménopausique par une nouvelle thérapie anabolisante. C’est l’un des programmes les plus passionnants du portefeuille d’immunologie d’UCB.

 

« Notre volonté d’améliorer la qualité de vie des patients est une réalité qui anime
le quotidien des collaborateurs de notre entreprise »

Comment envisagez-vous l’avenir ?
UCB investit plus de 20 % de son chiffre d’affaires en R&D et nous sommes très confiants dans les capacités de cette recherche qui est le socle de notre développement et de notre croissance. Notre groupe s’est concentré sur des domaines thérapeutiques très ciblés où les besoins sont cruciaux. Cet engagement durable et notre volonté d’améliorer la qualité de vie des patients est une réalité qui anime le quotidien des collaborateurs de notre entreprise à travers le monde et les 150 personnes de la filiale UCB France. Nous allons donc continuer de nous focaliser sur ces objectifs afin d’apporter de nouvelles solutions aux patients et aux praticiens, grâce à des médicaments issus de la biotechnologie.

 

Contact
www.ucb-pharma.fr