Loto, EuroMillions, jeux à gratter… On ne présente plus la Française des Jeux ! En bientôt 50 ans d’existence, la FDJ est passée d’une société de loterie majoritairement détenue par l’Etat à une grande entreprise technologique cotée en bourse. Stéphane Labarre (IAE Nantes 96), son Directeur du Pilotage de la Performance, témoigne de cette évolution.
La FDJ sans filtre : présentez-nous l’entreprise en trois infos surprenantes.
La Française des Jeux, c’est avant tout une entreprise de haute technologie avec des niveaux de service rares et des systèmes dont elle a la propriété intellectuelle et qu’elle vend partout dans le monde. De plus, la FDJ est le plus grand réseau de points de vente en France, avec pas moins de 30 000 lieux. J’aime dire qu’aucun Français n’est à plus de 10 minutes d’un point de vente FDJ ! Enfin, la Française des Jeux est un des principaux financeurs du sport en France. Un tiers du budget de l’agence nationale du sport est en effet financé par nos taxes sur les paris sportifs. Nous avons également une équipe cycliste Groupama-FDJ, une FDJ Sport Factory qui soutient plus de 70 athlètes de haut niveau, de grands partenariats dans le monde fédéral (FFHF, FFBF, FFR et XV de France…) ou dans les clubs (PSG, OM), ainsi que le partenariat avec les Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, bien évidemment !
Le petit plus qui rend les collaborateurs épanouis dans votre entreprise ?
C’est une entreprise dans laquelle il fait hyper bon vivre. Nous bénéficions d’un cadre de vie magnifique avec des sites modernes en flex office (y compris la direction !) et de nombreuses activités, notamment sportives. Notre cadre social généreux met également le collaborateur au cœur des principes de partage de la valeur de FDJ avec, par exemple, des taux d’intéressement et participation importants et une majorité de collaborateurs actionnaires. Enfin, notre culture d’entreprise est très spécifique. Elle s’est construite sur une responsabilité sociétale très forte : la FDJ est impliquée dans de nombreuses causes, dans le mécénat ou encore pour favoriser l’emploi des jeunes générations.
Résumez votre poste de Directeur du Pilotage de la Performance un jeune dip’ en trois missions phares !
Je dirige trois entités qui ont la performance en lien commun. Tout d’abord, nous assurons le pilotage de la performance financière d’un groupe coté en bourse en apportant au comité exécutif les éléments lui permettant de prendre des décisions éclairées (prévisions budgétaires, business plan, KPI de suivi d’activité…). Tout cela grâce à une équipe d’une trentaine de business analysts. Par ailleurs, nous déclinons les orientations stratégiques en objectifs mesurables, en nous assurant de l’adéquation des plans opérationnels avec la stratégie, notamment via la sélection et le pilotage du portefeuille de projets du groupe piloté par une équipe dédiée. Enfin, nous sommes garants de la déclinaison de la culture de l’excellence opérationnelle et de l’amélioration continue au sein du groupe.
Les diplômés des IAE bénéficient des atouts du modèle universitaire et de celui des business schools. Le mix idéal pour devenir un bon manager ?
L’IAE regroupe effectivement le meilleur des deux mondes. Tout en étant dans la continuité d’un cycle universitaire, il intègre les codes des business schools avec des classes fixes et des effectifs resserrés permettant de favoriser le travail en équipe. Nous y bénéficions aussi d’une plus grande proximité des enseignants et surtout de beaucoup de mises en pratique, stages ou interventions en entreprise… Pour l’anecdote, lorsque j’étais à l’IAE de Nantes en 1996, nous avons participé à un concours de création d’entreprise auquel participaient un grand nombre d’écoles de commerce françaises, et nous avons gagné ! Une grande fierté pour nous, les universitaires.
#JobBoard
En croissance, la FDJ a de fortes ambitions, particulièrement à l’international. Nous recrutons donc autour de 250 salariés par an, soit près de 10 % de l’effectif actuel du groupe ! Nous accueillons également environ 180 stagiaires ou alternants en permanence. Enfin, nous recrutons dans quasiment tous les métiers du groupe, avec des besoins particulièrement importants en informatique, dans la data ou le marketing digital. Sans oublier les métiers de la finance et du pilotage, qui sont clés pour un groupe coté du SBF120 !
Chiffres-clés en 2022 :
20,6 milliards € de mises
2,5 milliards € de CA (+ 9%)
2 850 collaborateurs
Contact : groupefdj.com/fr/candidats.html