Dans le cabinet de conseil June Partners, le métier de consultant se réinvente. Porté par l’innovation, la performance et la vision de son Président associé, Marc-Antoine Cabrelli. Rencontre.
Oubliez tout ce que vous pensiez connaître du conseil ! Chez June Partners, le métier de consultant ne se résume pas à de l’Excel à la chaine. Ici, ce sont des architectes-bâtisseurs 2.0, tous formés à la data, qui accompagnent les entreprises, sur le long cours. « Nous avons cherché notre identité et nous nous sommes tournés vers les termes architecte pour les notions de conseils et bâtisseur pour les notions de construction/mise en œuvre » résume Marc-Antoine Cabrelli.
La data, une innovation qui compte
Ce positionnement hybride, avec des experts en conseil et des experts du monde de l’entreprise, permet à June Partners de répondre aux besoins, concrets, de ses clients, PME et ETI : « nous intervenons de manière très opérationnelle et nous sommes orientés résultats. Notre objectif est d’avoir un réel impact par rapport à l’investissement engagé par les dirigeants. » Et l’efficacité passe avant tout par la maîtrise et l’utilisation de la data. « Si vous voulez être différenciant, vous devez maîtriser les sujets qui tournent autour de la data et de la robotisation. Obligatoirement, nous devons former nos jeunes collaborateurs et collaboratrices aux plateformes d’analyses de données. »
Formation et bien-être
La formation justement, c’est en continu chez June Partners. Dans ce cabinet, composé à 80 % de collaborateurs de plus de 15 ans d’expérience, les plus jeunes sont intégrés dans les règles de l’art et gagnent vite en expertise. « La courbe d’apprentissage est assez rapide chez nous » analyse Marc-Antoine Cabrelli. Et pour cause. Formations internes, réunions clients en présence de top managers, travail en direct avec des collègues expérimentés… les juniors profitent des avantages d’une entreprise « pragmatique » et « opérationnelle ». Des salariés accompagnés et épanouis, c’est en tout cas l’objectif du Président associé. « La bienveillance fait partie des valeurs de June. C’est important humainement, mais aussi pour garder et motiver les collaborateurs. Tout cela est intimement lié » insiste-t-il. Vigilance sur les plannings et la mobilité, télétravail (mis en place avant la Covid), bureaux accueillants, système de parrainage, etc. la société s’implique pour le bien-être de ses employés.
La RSE et les leaders de demain
L’engagement de June Partners, c’est aussi côté RSE que ça se passe. Via des initiatives autour de la mobilité des collaborateurs, du tri des déchets, mais aussi via la mission de conseil. « Depuis le début, nous recommandons à nos clients d’être impactants sur les sujets de la RSE » rappelle le top manager. Pour lui, il s’agit d’ailleurs de bien plus qu’un détail de stratégie. « Nous sommes de plus en plus appelés par les Comex sur des questions de RSE. Il y a deux types d’entreprises. Celles qui subissent ces grands mouvements de fond, qui essaient surtout de faire de la com’, sans être convaincues. Et celles qui en font beaucoup moins dans la communication, mais qui sont totalement ancrées dans ces sujets. Je pense que c’est cette deuxième catégorie de dirigeants qui fera la différence en termes de leadership. » Vision et convictions : les clés du leadership selon Marc-Antoine Cabrelli.
Born to be a leader ?
« On ne naît pas leader, on le devient. Bien sûr, nous avons tous des dispositions. Des qualités, des défauts. Quelqu’un en retrait, avec des difficultés à s’exprimer, ne sera peut-être pas un leader né. Mais il pourra le devenir. Dès lors que l’on en a envie… on peut le devenir ! Avant tout, il faut avoir des convictions, une vision, une ambition. Être entraînant. Inspirant. »
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