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ECOLE DES MINES D’ALBI, QUAND L’HUMANISME NOURRIT L’EXCELLENCE SCIENTIFIQUE

Former des ingénieurs humanistes, internationaux, innovants et en phase avec les enjeux du développement durable au sens large : telle est l’ambition de l’Ecole des Mines d’Albi. Alain Schmitt, son Directeur, nous en dit plus sur les partis-pris novateurs de cette école connectée aux besoins de son territoire et qui rayonne avec succès hors de nos frontières.

 

© Studio Tchiz
© Studio Tchiz

 

QU’EST CE QUI FAIT DE VOTRE FORMATION UNE OFFRE PÉDAGOGIQUE RÉSOLUMENT MODERNE ?

Positionnée dans la stratégie globale de l’Institut Mines Télécom, l’Ecole a mis en place des formations faisant écho à trois grandes transitions répondant aux besoins de son tissu économique régional et aux enjeux de la société de demain : la transition numérique, la transition énergétique et la transition industrielle. Nos masters traitant des problématiques liées à l’aéronautique, notre offre de formation en matière de valorisation énergétique des biomasses ou encore notre plateforme de recherche et d’innovation en galénique avancée et notre double diplôme pharmacien – ingénieur assez inédit, en sont la preuve. L’école est aussi profondément tournée vers l’international, comme en atteste le récent lancement de 4 masters en langue anglaise couvrant nos grands domaines d’expertise.

« Si nous formons des ingénieurs, nous formons avant tout les femmes et les hommes qui feront l’entreprise de demain »

ET LA RECHERCHE ?

L’Ecole dispose de 3 centres de recherche : RAPSODEE, qui englobe les composantes énergie et procédés de l’industrie pharmaceutique, le Centre Génie Industriel et l’Institut Clément Ader qui a obtenu le statut d’Unité Mixte de Recherche du CNRS en janvier 2016. Grâce à une dynamique régionale et collaborative entretenue avec l’Université Paul Sabatier, l’INSA Toulouse et l’ISAE – SUPAERO, nous sommes fiers de réaliser désormais 85 % de notre politique de recherche en association avec le CNRS.

PARLEZ-NOUS DE VOTRE POSITIONNEMENT EN MATIÈRE DE RSE.

Si nous formons des ingénieurs, nous formons avant tout les femmes et les hommes qui feront l’entreprise de demain : la façon dont ils construisent leur parcours est au moins aussi importante que les connaissances scientifiques qu’ils acquièrent en cours. Pour les aider à s’inscrire dans cette logique de construction et non de zapping, nous leurs proposons, dans le cadre de leur contrat de formation, de créer des liens privilégiés avec un référent (enseignant chercheur, cadre administratif de l’Ecole) qu’ils peuvent solliciter quand ils se posent des questions sur leur orientation, leur spécialisation, un stage… Nous souhaitons aussi promouvoir la diversité sous toutes ses formes. Nous adhérons aux Cordées de la réussite, nous poursuivons la féminisation de nos promotions et offrons, à ceux qui souhaitent approfondir cette thématique, l’opportunité d’obtenir un certificat d’aptitude au management de la diversité. Autant d’initiatives qui ont permis à l’Ecole de devenir en décembre dernier le premier établissement d’enseignement supérieur à être distingué aux Victoires des leaders du Capital Humain.

ECOLE ET ÉLÈVES, TOUS ENSEMBLE POUR L’INCLUSION DU HANDICAP

Depuis 3 ans, la mobilisation et les films des élèves de l’Ecole des Mines d’Albi sont récompensés lors du concours Tous HanScène® organisé par TREMPLIN Études-Handicap-Entreprises. Chaque année une des pièces données lors du festival international de théâtre étudiant organisé par l’Ecole est jouée par des jeunes en situation de handicap. Depuis 2015, la langue des signes française (LSF) peut être choisie comme 3e langue.

L’ADN de l’Ecole des Mines d’Albi
Son ambition : faire rayonner ses compétences et son modèle de formation à l’international.
Sa philosophie : former des femmes et des hommes ingénieurs humanistes, innovants et internationaux.
C’est fait pour qui : des jeunes qui veulent suivre un cursus épanouissant dans une école à taille humaine qui conjugue haut niveau scientifique et humanisme.
Votre plus grand rêve pour l’école : une rentrée 2020 à 1 000 étudiants (dont 300 internationaux).
Et pour les ingénieurs : intégrer toujours plus les SHS dans la formation des femmes et des hommes qui feront la richesse de l’entreprise de demain.

 

Clarisse Watine