Fiche métier : le DGA
Wonderbox est née en 2004 d’un projet commun entre Bertile Burel, diplômée de Sciences Po et Dauphine (95), et son mari James Blouzard, ancien ESCP Europe (92). Huit ans plus tard, c’est à deux qu’ils dirigent le numéro deux du coffret cadeau en France. Bertile Burel revient sur ce qui fait la force de cette entreprise.

Comment managez-vous en binôme avec votre mari ?
Nous nous répartissons les tâches tout en travaillant ensemble. Nous sommes complètement interchangeables, ce qui offre un vrai avantage : quand un dossier pose difficulté à l’un, il peut le confier à l’autre.
Par son identité, Wonderbox évoque l’idée du rêve, de l’évasion. Ces valeurs se retrouvent-elles dans la culture de l’entreprise ?
Complètement ! James et moi sommes des passionnés. Nous sommes tous les deux persuadés que le sel de la vie, c’est toutes les expériences que l’on peut vivre. Les deux premiers coffrets que nous avons lancés reprenaient des activités que nous avions aimées et que nous avions envie de partager. Donc quand notre équipe s’est constituée, sans s’en rendre compte, nous leur avons communiqué cette passion. Nous n’avons recruté que des gens qui aiment ce qu’ils font et qui vivent à fond.
Un exemple de produit innovant en 2012 ?
Pour la fête des mères, nous avons sorti un coffret inédit comprenant deux nuits dans un château, et deux coffrets en édition limitée, I love Maman et I love Papa, dont le design et le concept sont très novateurs.
Actuellement numéro 2 des coffrets cadeaux en France, Wonderbox pourrait-elle prendre bientôt la première place ?
L’année dernière nous avons gagné neuf points de parts de marché pour atteindre 38,9 % en février 2012.
Normalement, si nouspoursuivons notre forte progression, nous serons leader cette année.
Quels sont vos atouts par rapport à la concurrence ?
C’est d’abord notre esprit et notre culture. Nous sommes la seule entreprise du marché conduite par la passion. James et moi adorons le sport et les challenges, nous sommes d’ailleurs ceintures noires de karaté tous les deux et toujours intéressés par les petits bonheurs de la vie : partir en week-end, aller dans un spa se faire masser, tester un restaurant gastronomique… Nous vivons ce que nous vendons et c’est ce qui nous réjouit dans la vie. Et cela se voit dans les produits : les consommateurs ne s’y trompent pas ! La conséquence d’aimer ce que nous faisons, c’est que nous travaillons beaucoup et que nous cherchons la perfection. L’innovation naît de cette passion.
CB
Contact :
recrutement@wonderbox.fr