En France, plus d’une personne sur trois est concernée par des troubles cutanés visibles. Pourtant, les solutions existantes restent souvent insatisfaisantes. Face à cette réalité largement partagée, nous avons conçu Luxoderm : une technologie brevetée qui allie la précision du laser à la polyvalence de l’IPL. Portée par trois ingénieurs issus de SupOptique – Anthony Donabedian (CEO, actuellement en MSc CentraleSupélec-ESSEC Entrepreneurs), Alexis de La Brestesche (CTO) et Louis Dorlencourt (CPO) – notre ambition est d’offrir une alternative plus sûre, performante et accessible aux professionnels de santé, pour améliorer durablement la prise en charge des pathologies cutanées à retentissement esthétique.
Des pathologies fréquentes, des solutions inadaptées
En France, plus d’une personne sur trois est concernée par des pathologies cutanées à retentissement esthétique, qu’elles soient inflammatoires (comme l’acné ou la rosacée), pigmentaires (taches brunes, mélasma) ou vasculaires (érythrose, couperose). Pourtant, les solutions actuelles sont souvent limitées. Les lasers sont précis, mais coûteux et peu flexibles. Les machines à lumière pulsée (IPL), plus abordables et polyvalentes, manquent de précision, augmentant les risques d’effets secondaires tels que brûlures, hyperpigmentation ou hypopigmentation.
Une technologie brevetée pour dépasser les limites existantes
Luxoderm redéfinit l’approche des soins cutanés par la lumière. Grâce à une technologie brevetée, nous avons mis au point un dispositif qui combine la précision du laser à la polyvalence de l’IPL. Notre technologie concentre la lumière à la fois spatialement et spectralement, permettant un traitement plus ciblé, plus sûr et mieux adapté aux besoins cliniques. Le dispositif, trois fois plus léger que les appareils traditionnels, permet de traiter jusqu’à dix fois plus d’indications, tout en réduisant significativement les risques d’effets secondaires.
Un marché à fort potentiel
Le marché mondial des technologies de la peau est estimé à 39 milliards d’euros, avec plus de 45 000 praticiens potentiellement concernés en France. En proposant une solution plus performante, plus flexible et plus accessible, Luxoderm ambitionne de réinventer les soins dermato-esthétiques et de permettre aux professionnels de santé de traiter plus de patients avec plus de précision et de sécurité.
Luxoderm : une solution déjà engagée sur le terrain
Luxoderm a depuis son lancement suscité un fort intérêt avec, . six lettres d’intention, d’une valeur de 360 000 euros ainsi que quatre propositions d’investissement actuellement en discussion, incluant un industriel, un chirurgien esthétique et deux dermatologues.
Nous avons signé un partenariat industriel avec BiotechDental pour le développement du dispositif, et lancé une étude biologique avec l’Université de Toulouse sur l’effet de la lumière sur les fibroblastes et kératinocytes. Par ailleurs, trois études cliniques sont prévues avec le CHU de Saint-Étienne, le CHU de Caen et l’Institut de radiothérapie du Sud de l’Oise, portant notamment sur :
- les soins de support en oncologie (radiodermite, mucites),
- la photoréjuvénation,
- le traitement des cicatrices.
Nous bénéficions également de l’accompagnement de l’incubateur ESSEC Ventures, qui nous soutient activement à travers des séances de coaching stratégique, de nombreux ateliers pratiques, ainsi qu’un accès privilégié à un vaste réseau d’entrepreneurs et d’experts.
Une équipe d’experts engagés
Derrière Luxoderm, une équipe d’ingénieurs passionnés d’optique et de photonique issus de SupOptique.
Je suis Anthony Donabedian, CEO, diplômé de SupOptique et actuellement en MSc CentraleSupélec-ESSEC Entrepreneurs, avec une expérience en conseil et en startups.
Alexis de la Brestesche, CTO, est président de l’association Laser de SupOptique et pilote le développement technologique.
Louis Dorlencourt, CPO, ancien président de la junior entreprise de SupOptique, est en charge de la gestion produit et du lien avec les utilisateurs.
Nous sommes accompagnés par un comité scientifique de renom :
- Le Professeur François Balembois, chercheur au Laboratoire Charles Fabry et inventeur de la technologie,
- Le Professeur Jean-Luc Perrot, chef du service dermatologie au CHU de Saint-Étienne,
- Et Catherine Le Blanc, chercheure en laser et biophotonique au Laboratoire Charles Fabry, spécialiste des interactions lumière-tissu.
Contact :
📩 luxoderm.pro@gmail.com
🔗 LinkedIn : Luxoderm
🌍 Site internet : Luxoderm