L’EISTI, l’école du futur informatique

Les élèves de l’EISTI
Les élèves de l’EISTI

« Depuis 1989, nous nous appuyons sur notre charte pour développer nos valeurs qui sont le professionnalisme, l’ouverture, la solidarité et l’éthique.»
Nesim Fintz, Directeur général de l’EISTI

Les élèves de l’EISTI
Les élèves de l’EISTI

L’avenir radieux des IT
L’ensemble des métiers auxquels l’EISTI prépare, apportent une forte valeur ajoutée à l’entreprise et pour la plupart, ne peuvent pas être délocalisés (sécurité, big data, architecture de réseau…). Par conséquent, nous allons assister à un accroissement de l’offre de recrutement du secteur IT dans les cinq ans à venir, notamment en matière de sécurité informatique que les écoutes de la NSA ont récemment contribué à valoriser.
Là se trouvent les big business !
En ce moment tous les métiers informatiques relatifs au business analytique (le big data), se développent car il est nécessaire de maîtriser les nombreuses données dont les organisations disposent pour les trier, les rendre opérationnelles et s’en servir de la meilleure façon. Les ingénieurs doivent maîtriser une large palette d’outils mathématiques et informatiques afin de modéliser les problèmes réels et d’optimiser les énormes masses de données disponibles (logistique, productique, système décisionnel…). En matière de simulation haute fréquence qui consiste à mettre en oeuvre la simulation rapide des données financières pour pouvoir rapidement passer des ordres sur les différents marchés financiers, l’apport de nos ingénieurs IT est déterminant.

 

Le DSI : changement de perspective
Aujourd’hui… Envisagé sous un angle classique, le directeur des systèmes d’information définit et met en oeuvre la politique informatique en accord avec la stratégie générale de l’entreprise. Cela recouvre différentes missions techniques (mise en place et suivi de l’évolution des systèmes d’information), managériales dans le cadre de l’organisation et de l’animation des équipes informatiques avec la gestion d’une politique de sécurité et, quelquefois, l’élaboration d’une politique d’externalisation des tâches informatiques de l’entreprise.
Et demain… Il semble qu’en 2020, les changements seront significatifs. Le rôle du DSI va évoluer vers des responsabilités opérationnelles, notamment des tâches de conseils IT et de médiation en direction des métiers. En effet, grâce à l’évolution et à la fiabilité des technologies, le temps gagné au quotidien dans la gestion et la maintenance de l’infrastructure, permettra de privilégier l’aspect stratégique de ses missions.

 

Des métiers et des hommes
Les écoles et les capacités
A côté des grandes écoles d’ingénieurs généralistes pouvant former des ingénieurs aux métiers de l’IT (X, Ecoles Centrales…) et de certaines universités (UT, INSA), on trouve des écoles spécialisées telles que l’EISTI et l’ENSIMAG – qui accordent une grande importance aux mathématiques-, ou encore l’ESIEA, l’EFREI, l’EPITA, l’ECE. Tous les secteurs économiques sont intéressés par les IT, notamment la finance, l’automobile, l’aéronautique, la mécanique. Il peut s’agir de grandes entreprises mais également de PME et d’ETI qui doivent maîtriser la business intelligence et la sécurité informatique.
Eléments d’incertitudes
Ils concernent la recherche industrielle qui conduit des groupes transnationaux à regrouper leur R & D en dehors du territoire français pour des raisons de coûts. De même, les métiers stratégiques pour le développement dans l’informatique, portent sur les métiers d’interface qui nécessitent des compétences techniques et la capacité à coordonner un projet avec des acteurs en provenance d’univers différents, ce qui demande des potentialités multiples que seuls les doubles-diplômes peuvent apporter.

 

Patrick Simon

Imprimer

Articles qui pourraient vous intéresser également

Inscrivez-vous à notre newsletter !

Vous pouvez vous inscrire à notre newsletter en cliquant sur le lien suivant :

inscription à la newsletter