Alain Schmitt, nommé directeur d’IMT Lille-Douai le 12 avril 2017, s’est présenté à la presse ce 28 juin 2017. Il est revenu sur les chantiers qui l’attendent prochainement suite à la fusion entre Mines Douai et Télécom Lille ainsi que sur le devenir des prochaines promotions.
Alain Schmitt veut s’assurer que la fusion s’effectue le mieux possible en décloisonnant les deux écoles : « j’ai souhaité être présent deux jours par semaine sur le campus de Lille et deux jours sur le campus de Douai afin de décloisonner les écoles. Je ne voulais pas avoir de directeur sur chaque campus car l’objectif est de rassembler. » Le directeur planche également sur 3 chantiers pour la fin de l’année 2017 :
- La construction d’un organigramme adapté aux problématiques de l’école
- La définition d’une stratégie recherche de l’école, afin d’être un acteur reconnu à l’échelle nationale et mondiale
- L’adaptation de la stratégie globale des IMT, appliquée à l’école de Lille-Douai
L’étudiant au coeur des préoccupations
Alain Schmitt entend fournir à ses élèves les meilleures conditions d’études possibles. Au programme : la valorisation de l’apprentissage. Le nouveau directeur se dit « favorable au recours à l’apprentissage« . La création de parcours internationaux – avec des promotions de 13 élèves pour commencer – est également à l’ordre du jour. Enfin, la rénovation des logements étudiants sur le campus de Douai est un point essentiel sur lequel insiste Alain Schmitt : « nous rénovons actuellement les logements étudiants qui ont près de 30 ans pour les mettre aux normes et offrir de meilleures conditions aux étudiants qui y vivent. » Ce chantier a déjà débuté courant 2017 et se terminera dans 3 ou 4 ans selon le directeur.
Les précisions et les détails de la stratégie et de la mise en place de ces projets sera développée plus tard par l’école. Rendez-vous donc pris en septembre 2017 pour en savoir plus sur le futur d’IMT Lille-Douai pour 2018.
IMT Lille-Douai en quelques chiffres :
• 1 900 étudiants en 2016 (dont 450 apprentis)
• Plus de 500 diplômés par an
• 30 % d’étudiants internationaux
• 30 % de femmes
• Un réseau de 10 000 diplômés
• 16 % des diplômés en premier poste à l’étranger