Numérique, IA, robotique et énergie : des domaines 100 % d’actualité auxquels l’ESME forme ses futurs ingénieurs pour transformer le monde de demain. Retour sur les quatre grandes dimensions de l’ESME en 2024.
Mission : former les ingénieurs du numérique responsable
Les trois piliers de la formation pluridisciplinaire made in ESME ? D’abord, les systèmes énergétiques, pour répondre à des besoins en énergie toujours plus importants tout en accompagnant la transition vers des sources d’énergies renouvelables et à faible émission carbone. Ensuite, les technologies numériques dernière génération (IA, IoT, cybersécurité) bien sûr. Et enfin, la durabilité, un des leviers les plus puissants pour nourrir son statut d’entreprise à mission qu’elle a adopté, tout comme les trois écoles d’ingénieurs du Groupe IONIS, dont est membre l’ESME.
Des ingénieurs qui changent le monde
Pour preuve, l’école ambitionne de former des ingénieurs pour transformer le monde de demain… et qui agissent pour transformer le monde dès aujourd’hui ! Cette année trois futurs ingénieurs de la majeure Biomécanique et Robotique médicale ont ainsi profité du Master Project 2023 pour aider Marceau – un enfant atteint d’atrophie musculaire spinale avec atteinte respiratoire – à améliorer la capacité de mouvement de ses bras. Dans le même cadre pédagogique, trois étudiants de la majeure Biotech & Numérique ont travaillé sur l’optimisation du diagnostic de la malaria grâce à l’IA. Trois autres étudiants ont collaboré avec l’hôpital Saint-Antoine à Paris pour développer SMARTOPI,un dashboard connecté qui, à travers la récolte de données en temps réel, permet à l’établissement de santé d’optimiser la gestion du flux de ses visiteurs au quotidien. Parallèlement, la finale de l’iGEM 2023 – un des plus grands concours étudiant au monde dédié la biologie de synthèse – a mis la médaille d’or autour du cou de l’équipe iGEM IONIS composée de deux futures ingénieures de l’ESME – Alexia Baudrand et Yasmina Kourrich, promo 2024 – ainsi que d’étudiants de SupBiotech et de l’EPITA, pour son projet Clean Heat. Un système bio-sourcé de dépollution des eaux usées en œstrogènes de synthèse et de chauffage grâce à des micro-organismes génétiquement modifiés et cultivés en co-culture.
>>>> Pour aller plus loin sur les grandes tendances du numérique en 2024, découvrez l’enquête de la Rédaction sur l’humanité augmentée
L’ESME se distingue parmi les écoles d’ingénieurs post-bac
Domaines hyper contemporains, employabilité et engagement : autant de dimensions qui expliquent la place de l’ESME dans les classements, notamment dans le classement 2024 des meilleures écoles d’ingénieurs françaises publié par l’Usine Nouvelle. Aujourd’hui dans le Top 10 des écoles d’ingénieurs post-bac, l’école a progressé de près de 56 places en huit ans. Parmi ses atouts distingués par le classement : l’ouverture à l’internationalet l’insertion professionnelle. 96 % des ingénieurs diplômés de l’ESME trouvent en effet un emploi moins de deux mois après leur sortie de l’école, avec un salaire annuel brut de sortie avoisinant les 45 000 euros. Et c’est sans compter ses campus en régions. En 2023 l’ESME Lyon se classait à la 1è place des écoles post-bac en AURA, l’ESME Bordeaux à la 2e place des écoles post-bac de Nouvelle Aquitaine et l’ESME Lille à la 2e place des écoles post-bac des Hauts-de-France.
Plein feu sur les bachelors
IoT, transition énergétique ou transports éco-intelligents sont aussi au cœur de l’offre bachelor proposée par l’ESME. L’objectif ? Faire fructifier sa proximité historique avec les entreprises pour répondre à leurs besoins croissants de profils intermédiaires en bac+3 capables d’avoir une vision technique. De fait, les jeunes diplômés d’un bachelor de l’ESME s’ouvrent à de nombreux débouchés métiers particulièrement porteurs : administrateur, architecte IoT ou en cybersécurité, développeur IoT, technicien sécurité ou encore, gestionnaire de parc IoT.