Alain Ayache Directeur de l’INP-ENSEEIHT
Alain Ayache Directeur de l’INP-ENSEEIHT

Au coeur de la ville

UNE ECOLE A LA UNE : L’ENSEEIHT

 

Une école de Toulouse ouverte sur la société
et sur le monde

La dimension toulousaine

Alain Ayache Directeur de l’INP-ENSEEIHT
Alain Ayache Directeur de l’INP-ENSEEIHT

Comme dans toutes les grandes villes universitaires, l’ENSEEIHT, à travers l’INP de Toulouse, travaille sur un projet d’Initiative d’Excellence, IDEX. Ce projet est porté par le PRES de Toulouse, présidé par le Président de l’INP. « Nous intégrons la place de notre école d’ingénieurs dans la réflexion toulousaine. En effet, dans cette ville, les écoles d’ingénieurs ont toujours travaillé en synergie avec l’université, et les laboratoires relevant de l’ingénierie sont partagés. L’INP-ENSEEIHT accueille ainsi dans ses murs une partie des quatre grands laboratoires du CNRS du site que sont l’IMFT, le LAPLACE, l’IRIT, le LAAS. »
Alain Ayache
Directeur de l’INP-ENSEEIHT

 

10 000 m² de surface supplémentaire en centre-ville
Depuis trois ans, l’école travaille sur l’entrepreneuriat afin d’aider les étudiants à créer des start-up ou reprendre des PME car une école d’ingénieurs a un rôle important à jouer au sein de la ville et de la communauté d’agglomérations. Si l’INP-ENSEEIHT a mis en place des sensibilisations et des réflexions au niveau pédagogique, il faut également inciter les élèves en créant un esprit entrepreneurial. « Ayant construit 10 000 m² de surface supplémentaire, nous avons pu libérer un bâtiment et le mettre à disposition des créations de start-up pour aider les étudiants à développer une activité originale, qu’ils soient encore à l’école ou diplômés. Quatre étudiants sont déjà impliqués dans des projets liés à l’innovation technologique dans le cadre de leur cursus. En outre, le Grand Toulouse ayant eu l’idée d’un lieu d’échanges au centre de Toulouse, nous avons entrepris avec lui un projet d’entrepreneuriat qui va voir le jour dans les locaux de l’école. »
Thierry Bosch
Responsable Recherche de l’INP-ENSEEIHT

 

L’entreprise « Devactis », un cas d’école
Porté par les enseignants-chercheurs de l’INPENSEEIHT- IRIT, Romulus Grigoras, l’actuel P-DG, et Vincent Charvillat, Directeur Scientifique, un projet a abouti au développement d’un logiciel marketing web appelé SMART. Ce logiciel est capable de reproduire sur Internet le comportement d’un bon vendeur d’une boutique physique afin de guider, motiver et rassurer les visiteurs et ainsi augmenter les performances commerciales du site. Ce projet a donné naissance à la société Devactis qui compte parmi ses clients comtessedubarry.com, lentillesmoins- cheres.com ou phase-eight.co.uk « Durant les 10 ans de gestation de ce projet qui était au départ un travail de recherche, une cinquantaine d’étudiants se sont impliqués durant leurs stages et dans un projet pédagogique, extracursus standard. Le projet pédagogique est le fruit d’une collaboration avec Sopra Group, qui a apporté son soutien en gestion de projet et stratégie. Quatre de ces étudiants dont le directeur technique, un ingénieur R&D et deux prestataires de services, sont concernés par le développement actuel de l’entreprise. »
Romulus Grigoras,
P-DG de Devactis.com

 

Les BD… c’est quelque chose !

Coralie Nieto Responsable des relations industrielles du BDE
Coralie Nieto Responsable des relations industrielles du BDE

« Le plus du BDE de l‘N7 est d‘être une AE (Association des Elèves). Les bureaux tels que le BDS, le BDA, le BDD ou le FOY‘ ne sont pas indépendants. Tout le monde travaille ensemble et ainsi différents projets peuvent naître : l‘alliance BDD-Foyer a permis la mise en place des éco cups pour réduire l‘utilisation de gobelets en plastique. »
Coralie Nieto
Responsable des relations industrielles du BDE

 

Un artiste de haut niveau
Si des sportifs de haut niveau comme le volleyeur Maxime Poyer suivent un cursus aménagé en 4 ans, Malik Tognan, un artiste de haut niveau, lui, suit un enseignement à temps plein avec des aménagements ponctuels tout en poursuivant des études de piano au Conservatoire de Toulouse. « Je ne cherche pas à devenir un musicien professionnel, mais à me perfectionner pour aller le plus loin possible. »

 

Petites habitudes des élèves : la journée d’un N7ien se rythme à travers quelques moments privilégiés ! Arrivée à 7h58 à l‘école, mots fléchés du 20 Minutes pendant les coeurs, café-choco (café + chocolatine) à 10h, repas au foyer à 12h puis de temps en temps, une bière à 18h pour décompresser de la journée.
Le sport préféré est le DVP : « développement personnel ». Au début de la première année, tous les étudiants doivent effectuer un test : courir 3 km en moins de 20 min. Tous ceux qui échouent ont le « plaisir » d‘aller en DVP pour une « remise en forme ». Au menu : pompes, abdos, gainage, course…
Le prof qui plaît… c’est le prof qui, pendant ses cours, glisse des phrases ou expressions anodines, qui finiront dans l’avant dernière page du journal de l’école, le Sun7, dans la rubrique « Perles ».
Sur la cafet… c’est le Foyer, le coeur de la vie étudiante, une 2e maison pour les N7iens. On y trouve en journée des barres chocolatées, des sirops, des chocolatines, et en soirée des nouilles chinoises, des boissons autorisées par la licence II. C’est aussi le lieu de recueil pour les amateurs de baby-foot ou de coinche. La vie du Foyer est rythmée par les animations proposées par les Clubs de l’N7, ainsi la décoration du Foyer évolue tout au long de l’année.
Love at school peut être résumé dans le top de la choppe : top 5 des meilleurs baisers à l’N7. Tout ceci est contrôlé et surveillé par la BAC : Brigade Anti Choppe qui met un point d’honneur à être présente lors de l’intégration.
La soirée qu’on attend est le gala édition 2012, organisé par le Fest‘INP, qui a lieu à l‘N7 le 10 mars. Les 3 hall C, les semaines d‘intégration, le Noël de l‘AE, le ski, les campagnes sont les événements attendus avec impatience par tous les N7ien.

 

Patrick Simon