Quelle est la nouvelle épreuve signature de l’oral 2025 de l’EM Strasbourg ?

L’EM Strasbourg donne un coup de frais à son oral avec un tout nouvel entretien de motivation en mode pitch. On vous explique comment va se passer l’oral 2025 de l’EM Strasbourg et quelles autres nouveautés vous pourrez trouver au sein de la business school strasbourgeoise à la rentrée prochaine.

Depuis une quinzaine d’année, l’oral de l’EM Strasbourg a bâti sa notoriété sur son épreuve construite autour d’un objet-passion. Aujourd’hui, l’école fait le choix de réinventer son entretien de motivation pour le Programme Grande Ecole. « Cela nous permet d’aligner la sélection de nos étudiants sur leurs valeurs, en mettant l’accent sur l’autonomie et le développement personnel, tout en s’inspirant des pratiques entrepreneuriales » explique Charlotte Massa, directrice du PGE de l’EM Strasbourg.

Les secrets de l’oral 2025 de l’EM Strasbourg

Mais concrètement, à quelle sauce les candidats du PGE de l’EM Strasbourg vont-ils être mangés en 2025 ? Ils seront soumis à un entretien en deux temps. D’abord, un pitch personnel. Le concept ? Le candidat se présente à travers un pitch de trois minutes où il relate un succès ou une réussite dont il est fier. Il peut s’agir d’un accomplissement personnel ou professionnel marquant (scolaire, artistique, sportif, familial, humanitaire, un défi surmonté etc.) qui lui permet de démontrer ses valeurs et ses compétences. Il entame ensuite une discussion interactive de sept minutes environ avec le jury, dans une dynamique prospective. Sur la base d’un document rempli en amont, cet échange lui permet de guider sa réflexion sur ses choix au sein du programme, les spécialités envisagées ainsi que la manière dont il imagine son futur à l’EM Strasbourg. « Ce nouveau format va bien au-delà d’un simple entretien de motivation : le candidat est en position idéale pour valoriser ses expériences et présenter ses aspirations. Il commence déjà à prendre son avenir en main en structurant ses projets futurs pour intégrer l’école » estiment les responsables de l’EM Strasbourg.  

Les autres nouveautés de l’EM Strasbourg pour 2025

Côté PGE toujours, l’EM Strasbourg rejoint cette année la banque d’épreuve SESAME pour son concours PGE post-bac, son PGE étant en effet accessible dès le bac, en plus des admissions parallèles et post-prépa. 100 places sont ouvertes pour la rentrée 2025. « C’est une étape clé pour renforcer la visibilité de notre PGE post-bac et offrir de nouvelles opportunités aux bacheliers de toute la France » insiste Charlotte Massa.

>>>> Pour tous savoir des nouveautés, des épreuves et des modalités du Concours SESAME 2025, ça se passe ici

Il y a aussi du nouveau côté bachelor. L’EM Strasbourg ouvre pour septembre 2025 un parcours en full english dès la première année du bachelor Affaires internationales. Un parcours destiné aux étudiants internationaux via le concours International Admission, mais aussi aux étudiants français souhaitant s’immerger dans une formation anglophone et que l’école voit donc comme un véritable « booster d’internationalisation ».

En 2025, l’EM Strasbourg accompagne encore plus de jeunes entrepreneurs

Avec le DU Jeune entrepreneur, l’EM Strasbourg accompagnera en 2025 12 jeunes entrepreneurs strasbourgeois, principalement issus des Quartiers Prioritaires de la Ville (QPV), demandeurs d’emploi, chômeurs de longue durée ou éloignés du marché du travail. Lancé en partenariat avec France Active Alsace, ce parcours de 130 heures comprend huit modules de formation répartis sur deux périodes d’enseignement (mars à juin et septembre à novembre 2025). Ses objectifs ? « Favoriser l’inclusion économique et sociale des jeunes par l’entrepreneuriat, offrir un soutien personnalisé et du mentorat pour développer les compétences nécessaires à la gestion d’une entreprise. Ce programme permet aussi de connecter les participants aux acteurs du financement local et de créer un réseau entrepreneurial inclusif » détaille l’école.

Avec ces nouveautés, l’EM Strasbourg entend affirmer sa différenciation au sein d’un écosystème de l’enseignement supérieur toujours plus concurrentiel et ainsi s’illustrer comme la « première business school universitaire de France triplement accréditée », comme elle se qualifie désormais.