PHILIPPE BOUTRY, PRÉSIDENT DE L’UNIVERSITÉ PARIS 1 PANTHÉON-SORBONNE © Service communication - Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
PHILIPPE BOUTRY, PRÉSIDENT DE L’UNIVERSITÉ PARIS 1 PANTHÉON-SORBONNE © Service communication - Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne

PAROLES de présidents d’universités

ALAIN BERETZ, PHILIPPE BOUTRY, GUILLAUME LEYTE ET JEAN CHAMBAZ NOUS ONT CONFIÉ LEUR VISION ET LEUR CONVICTION DE LA CONTRIBUTION ESSENTIELLE DES ET DE LEURS UNIVERSITÉS À LA RÉUSSITE ÉCONOMIQUE, SOCIALE, SCIENTIFIQUE ET CULTURELLE DE LA FRANCE.

 

PHILIPPE BOUTRY, PRÉSIDENT DE L’UNIVERSITÉ PARIS 1 PANTHÉON-SORBONNE © Service communication - Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
PHILIPPE BOUTRY, PRÉSIDENT DE L’UNIVERSITÉ PARIS 1 PANTHÉON-SORBONNE © Service communication - Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne

« Porter le nom Sorbonne est à la fois un honneur et un devoir d’excellence »
PHILIPPE BOUTRY, PRÉSIDENT DE L’UNIVERSITÉ PARIS 1 PANTHÉON-SORBONNE
« Notre nom Sorbonne est extrêmement connu à l’étranger. C’est à la fois un honneur de le porter et un devoir d’être à la hauteur de cette réputation d’excellence dans nos domaines : droit et sciences politiques, économie et gestion, histoire, histoire de l’art, université française apparaissant dans le classement du Times Higher Education. Lorsqu’on est à la tête d’une grande université, il est important de pouvoir se situer dans le monde. Nous sommes un facteur d’attractivité de la France avec 400 établissements partenaires sur les 5 continents et 8 000 étudiants étrangers par an. Notre ambition d’excellence se déploie aussi dans l’interdisciplinarité avec 17 double-licences. Panthéon- Sorbonne est la seule université associée à la préparation du projet Exposition France 2025. 80 professeurs et étudiants se sont impliqués. »

 

« L’université est un levier de développement »
JEAN CHAMBAZ, PRÉSIDENT DE L’UPMC

« Ma conviction est que l’université n’est pas une charge pour le budget de l’Etat, mais bien un investissement pour l’avenir. Elle est un levier de développement économique, social, culturel. Aucune innovation ne s’appuie pas sur de la recherche fondamentale. Nos chercheurs contribuent largement dans les domaines de la transition environnementale, de l’ingénierie de la santé ou encore de la société numérique. Nous préparons sur le campus l’ouverture de Paris Parc, un parc d’innovation regroupant une SATT, un fonds d’investissement, un incubateur. L’UPMC forme en master et doctorat des cadres de demain, conscients des enjeux de la société et du monde, dotés d’une ouverture d’esprit critique et multidisciplinaires. Ils sont des atouts pour les entreprises qui les emploieront et sauront se positionner sur l’ensemble de leurs défis. »

 

« La diffusion du droit français à l’étranger sert au premier chef les entreprises et l’économie nationale »
GUILLAUME LEYTE, PRÉSIDENT DE L’UNIVERSITÉ PANTHÉON-ASSAS
« La réputation nationale et internationale de premier plan de l’université Panthéon-Assas se traduit au plan national par le fait que ses diplômés de master 2 ont le salaire brut médian de départ le plus élevé du pays. L’implication forte à l’international fait que les professeurs de l’université, en lien étroit avec les professions juridiques, contribuent très largement à la diffusion du droit français à l’étranger, ce qui sert au premier chef les entreprises et l’économie nationale. »

 

© Catherine Schröder Unistra
© Catherine Schröder Unistra

« La symbiose entre enseignement et recherche fait notre valeur-ajoutée »
Strasbourg est la seule université française qui a 3 prix Nobel en activité dans ses services, et 18 en tout parmi ses anciens étudiants et professeurs. Comment construit-elle son excellence ? Quelles sont ses contributions ? Les réponses d’ALAIN BERETZ, SON PRÉSIDENT.
Des concepts avant l’impact économique
« La symbiose entre enseignement et recherche fait notre valeur-ajoutée pour la société. Nos enseignants sont des chercheurs, ils transmettent les connaissances qu’ils ont participé à créer et l’esprit de la recherche : le doute, l’échec constructif, faire face à l’imprévu. La recherche est un capital pour la société qu’il faut sans cesse enrichir. L’université produit de la recherche qui au départ n’a pas d’application. C’est ainsi qu’elle crée des innovations de rupture. Nos prix Nobel ont trouvé bien après leurs travaux fondamentaux des applications, des brevets, des concepts qui ont eu un impact dans l’industrie. »
Une université pluridisciplinaire et des domaines d’excellence
L‘université de Strasbourg a acquis une réputation mondiale dans plusieurs domaines : santé, chimie, sciences de la vie ; physique des matériaux ; sciences des religions, propriété intellectuelle. « Mon ambition est un modèle d’université pluridisciplinaire et dotée de domaines d’excellence. C’est un élément de notre identité, de reconnaissance internationale. »

 

A. D-F