Avec l’aide du service emploi de leur établissement
Pauline Lamboley étudiante à ESCP Europe, fait son année de césure dans la finance d’entreprise chez un leader des soft drinks. « Le service emploi du campus de Londres de mon école, m’a aidé à trouver mon stage de césure. J’ai énormément travaillé mes lettres de motivation et ça a payé. La clé est de décrocher un entretien, il faut donc que CV et lettres soient parfaits surtout que les recruteurs locaux connaissent peu nos formations. »
Patrick Simion (X/LSE) après un stage à Londres il a choisi de rentrer en France. « J’ai beaucoup apprécié mes études à la LSE, très complémentaires de l’X dans une ambiance internationale. J’ai réalisé un stage comme assistant parlementaire auprès d’un député britannique à l’issue duquel on m’a proposé un emploi. Avoir étudié sur place est un atout, car les services emploi des universités sont efficaces. J’ai souhaité rentrer pour servir l’Etat français. Je travaille à la direction générale du Trésor. »
Grâce à leur motivation
Charles-Edouard de Lambilly (ESCP Europe) travaille dans la finance depuis 3 ans. « J’ai étudié à l’université de Lancaster et sur le campus de Londres de ESCP Europe. J’ai réalisé une année de césure et un stage de fin d’études à Paris. Une spécialité en finance et une expérience sont déterminantes pour décrocher un emploi à Londres dans ce secteur. J’ai trouvé mon premier emploi grâce au réseau via le site de ESCP Europe. J’ai depuis changé après qu’un ami de l’école m’ait parlé d’une opportunité dans la vente de produits structurés pour l’Amérique. J’y suis allé au culot. Un jour je me suis présenté et ai demandé à voir le responsable du service…qui m’a reçu ! Il faut être débrouillard, flexible, motivé, oser et s’accrocher ! »
Julien Benhamou (ESCP Europe) agent d’artistes de la musique classique « Après des stages dans mon domaine en France, j’ai appelé des contacts pour qu’ils me conseillent. On m’a dit qu’une agence londonienne, la plus importante au monde, se restructurait. Ce sont mes stages qui ont fait la mais aussi ma maîtrise de plusieurs langues et ma formation, notamment sur le campus de Londres de ESCP Europe dont le service carrières m’a été très utile. »
Le hasard d’une affectation
Mahacine Ghazza (X-Mines) est risk analyst chez un énergéticien mondial à Londres depuis 1 an. « J’ai été recrutée dans le groupe après un stage au Qatar dans la gestion du business de gaz liquéfié. On m’a proposé de débuter à Londres, ce que j’ai accepté car c’est une implantation importante pour le groupe. Le mode de vie est décontracté, l’ambiance multiculturelle. On ne s’ennuie jamais ! La vie est assez chère, il est donc recommandé de trouver un travail avant de venir ou d’avoir un petit pécule pour tenir quelques mois. »
Henry Schmidt est manager du site « Ici Londres » depuis 8 mois. « J’ai été attaché de presse durant 4 ans à Paris. J’étais au chômage depuis 1 an lorsqu’une relation m’a proposé ce poste. J’ai saisi ma chance ! Ici si vous êtes bon vous restez, sinon vous partez. C’est ce qui rend le marché du travail fluide mais peut sembler brutal à un Français. Notre site destiné à la communauté francophile de Londres propose notamment des fiches pratiques pour ceux qui envisagent de s’y installer. »
www.ici-londres.com
Gaëlle Enjaric (ESC Montpellier) passe 1 an dans l’agence londonienne de son employeur américain spécialiste du développement international. « J’ai préparé un double diplôme à l’université de Chicago. J’ai trouvé mon premier emploi à Washington suite à un stage. Je suis spécialiste de l’approvisionnement pour une agence de développement international. Le temps de faire mon visa de travail, mon employeur m’a proposé de travailler à Londres ; l’occasion aussi de me former à de nouveaux produits médicaux et d’enrichir ma pratique. »
A. D-F