Si l’année 2015 continue de souffrir de la crise économique, un secteur en sort indemne : le numérique. En plein boom depuis plusieurs années, les entreprises du numérique recrutent toujours énormément et les startups innovantes se multiplient. Ajoutons que le boom n’est pas sans impact sur les sociétés en voie de digitalisation car le numérique constitue un véritable levier dans les transformations profondes qui touchent la quasi-totalité de nos entreprises, tant au niveau des procédés qu’au niveau de l’organisation du travail.
A l’Isep, les chiffres parlent d’eux-mêmes : près de 13 000 offres d’emplois et de stages sont proposées aux élèves chaque année, et plusieurs start-up naissent de l’Isep, grâce à la filière entrepreneuriat qui permet à certaines d’entre elles d’intégrer l’incubateur partenaire Arts et Métiers ParisTech.
De plus, l’enquête « insertion professionnelle 2015 » de la CGE auprès de notre promo 2014, montre que moins de 3 mois après l’obtention de leur diplôme 97 % des Isépiens ont trouvé du travail – quasi tous en CDI. C’est donc confiants que nos ingénieurs entament leurs carrières, ainsi ils rejoignent le monde professionnel dans des secteurs d’activités très variés et à différentes fonctions.
Naturellement, une grande majorité se trouve dans les secteurs des TIC (informatique, télécom, électronique, etc.) à des postes de recherche et développement, de consulting et d’audit, de maîtrise d’ouvrage (MAO) et de conduite de projets. En effet, la dimension managériale de la formation conduit généralement l’ingénieur Isep à des responsabilités assez importantes dès le début de sa carrière. En outre, on retrouve les ingénieurs Isep dans d’autres domaines comme le transport, l’énergie, la finance mais aussi le luxe où ils participent activement à l’architecture des systèmes d’informations des entreprises de ces domaines. Il faut noter que les technologies Web donnent un nouvel essor au développement informatique qui devient le fer de lance du secteur numérique et de l’innovation.
Les grandes entreprises, françaises et/ou multinationales, accueillent la majorité de nos ingénieurs dont pratiquement la moitié s’est vue proposer un CDI suite au stage de fin d’études ou au contrat d’apprentissage. »
L’international, au coeur du cursus de l’Isep puisque que 100 % des élèves partent au moins un semestre à l’étranger durant leurs études, occupe une place primordiale dans les carrières des nos ingénieurs. En effet, près de la moitié d’entre eux se trouvent à un poste lié à l’international, et plus de 20 % de nos diplômés de moins de 30 ans sont basés dans un pays étranger.
Au delà des opportunités aussi multiples que passionnantes, les diplômés jouissent en moyenne d’un salaire très confortable pour débuter leur carrière. En effet, selon la même enquête de la CGE, le salaire annuel brut moyen des diplômés Isep, tous pays confondus, est de 42 250 euros, soit un salaire au-dessus de la moyenne pour démarrer sa vie professionnelle. Et si on se limite aux salaires des Isépiens en France, cette moyenne s’élève à 39 830 euros.
Le numérique est en constant développement et les métiers qui en découlent aussi. L’Isep actualise donc régulièrement ses cursus et parcours spécialisés afin de répondre aux besoins des entreprises et de préparer ses diplômés au monde professionnel de demain.
Par Agnès Flouquet-Vilboux
responsable des relations extérieures à l’Isep