Bilan positif ! Deux ans seulement après sa fusion, Puissance Alpha revient sur les succès de la session 2019 et annonce trois nouveaux concours pour 2020. Les 16 écoles d’ingénieurs adhérentes à la banque d’épreuves entendent ainsi surfer sur ses deux principaux atouts : guichet unique et personnalisation. Le point sur ce qui attend les candidats l’année prochaine.
Attractivité record pour Puissance Alpha. Depuis 2017, le nombre de candidats à la banque d’épreuves a augmenté de 54 %, portant ainsi à plus de 10 000 le nombre de vœux exprimés sur ParcourSup en 2019 (+11 % par rapport à 2018). « Des candidats nombreux et surtout de très bons candidats », insiste Jean-Marc Idoux, président de Puissance Alpha. S’ils ne sont pas tous issus d’un Bac S (28 % viennent d’autres filières), 74 % d’entre eux sont titulaires d’une mention au Bac, dont 42 % d’une mention bien ou très bien (Vs. 35.9 % de moyenne nationale). Des candidats aussi « particulièrement motivés. Pour preuve, 50 % des admis en 2019 ont fait leur choix pour une des 16 écoles du concours moins de 10 jours après l’annonce des résultats. »
« Notre credo ? Personnaliser pour mieux orienter ! »
Pour Jean-Marc Idoux, une des raisons du succès de Puissance Alpha réside dans l’individualisation du parcours candidat. « C’est un véritable partenaire de l’orientation, à la fois pour les jeunes, leurs familles et les prescripteurs. Notre objectif est d’éviter le côté « machine », en personnalisant jusqu’au bout l’accompagnement de l’élève. » De même, le concours ne propose pas de barre d’admission unique. Si le dossier est évalué par un algorithme, chaque école peut moduler jusqu’à 30 %, la note obtenue, en fonction des prérequis du ou des programmes sélectionnés. Une pondération qui est également de mise pour les épreuves écrites, chaque programme présentant ses propres coefficients. Enfin, chaque école détermine sa barre d’admission.
« Puissance Alpha au plus près de chez vous ! »
Avec ses 42 centres d’examens, Puissance Alpha souhaite faciliter le quotidien des candidats. Une logique qui s’applique aussi aux candidats inscrits dans le système français à l’étranger qui ont la possibilité de passer les écrits sous forme dématérialisée.
What’s new au concours Postbac ?
« Puissance Alpha renforce son épreuve phare avec huit nouveaux programmes. 4 500 places seront ainsi ouvertes en 2020, toutes filières confondues » annonce Olivier Paillet, membre du CA de Puissance Alpha. Alors rendez-vous le 25 avril 2020 pour vous confronter aux écrits !
Trois nouvelles voies d’admission
Conscientes que les parcours des jeunes sont de moins en moins linéaires, les écoles membres de Puissance Alpha souhaitent laisser plus de latitude à celles et ceux qui souhaitent changer de trajectoire en cours d’études. Trois nouvelles voies d’admission ont ainsi été créées. Mais quels sont leurs atouts ?
Puissance Alpha concours Rentrée décalée : pour les élèves qui souhaitent se réorienter en 1A sans pour autant perdre une année scolaire. « Un dispositif non universalisable à l’ensemble de nos écoles, des programmes de semestres adaptés devant être mis en place au préalable ». 267 places seront ainsi ouvertes sur 18 programmes répartis dans 10 écoles dès janvier 2020.
Puissance Alpha concours Bac +1 : pour les étudiants ayant validé une première année mais souhaitant intégrer une autre école directement en 2A. 269 places seront ouvertes sur 26 programmes répartis dans 12 écoles.
Puissance Alpha concours CPGE : ouvert dans le cadre du rapprochement des banques d’épreuves e3a et Polytech, les 13 écoles membres de Puissance Alpha et de e3a regroupent leurs filières CPGE sous cette marque unique. 732 places seront ouvertes dans 13 écoles. « Chaque école gardant la main sur sa sélection bien sûr ».
Avec ces nouveaux dispositifs, « Puissance Alpha réaffirme les principes fondateurs de la marque : une procédure unique pour éviter aux élèves de se perdre dans le maquis administratif, un coût unique (tarifs gelés depuis deux ans et gratuité pour les boursiers) et un résultat d’admission différent pour chaque programme », conclut Jean-Marc Idoux.